Comme le souligne les 3 articles, les bioindicateurs peuvent être des alliés puissants pour évaluer la qualité de l’eau, l’air ou du sol. Des avancées récentes aussi bien scientifiques qu’en terme de normalisation permettent une utilisation accrue de ces indicateurs basés sur la biologie.
Les trois articles de P. Rey-Brahmi, S. Anheim et V. Parasote, font le point sur les dernières avancées dans les trois milieux respectivement: eau, sols et air .
Titre du dossier : Le renouveau des bioindicateurs
« Que ce soit dans l’eau, les sols ou l’air, une nouvelle génération de bioindicateurs arrive à maturité. Ils complètent l’approche physico-chimique traditionnelle en apportant des connaissances sur l’impact des polluants sur le vivant. Mais ils vont aussi au-delà, en permettant d’évaluer l’effet des cocktails de molécules ou des perturbateurs endocriniens, peu connu faute d’outil d’analyse et de mesure. »
Le deuxième article est consacré aux sols.